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Du théâtre de Shakespeare, on retient des phrases cultes, et on ne connaît souvent que certaines grandes pièces. Or c’est un trésor inépuisable – que des lectures peuvent renouveler. Celle de Daniel Sibony le déploie ici intégralement, l’analyse pièce par pièce et révèle sa richesse percutante. Étonnant Shakespeare, qui évoque si puissamment les questions d’amour et de pouvoir qui nous hantent, et qui récuse nos visions binaires de l’humain, du genre : vrai ou faux, juste ou injuste, bon ou mauvais, homme ou femme, citoyen ou étranger. Il montre qu’entre les deux, c’est le jouable qui importe. Pour Shakespeare, « le monde entier est un théâtre » : la réalité, qu’il creuse avec des nuances infinies, ne vaut que si elle peut être jouée, de même pour nos vies. Il nous révèle toujours déjà engagés dans le jeu d’exister, face à l’infini des possibles. À travers ses personnages d’un autre temps, nous retrouvons tous les thèmes qui nous occupent aujourd’hui, épurés, symbolisés. Et de revivre à distance, transfigurées dans le comique ou le tragique, les impasses où nous nous débattons, ne serait-ce pas un moyen d’y trouver une issue ? Et si Shakespeare, poétiquement, nous aidait à trouver le chemin d’une libération ? Daniel Sibony est philosophe, psychanalyste, auteur de nombreux ouvrages parmi lesquels, chez Odile Jacob, De l’identité à l’existence, Question d’être, et le dernier : À la recherche de l’autre temps. Il a aussi écrit sur l’art, les religions, la clinique, le rire et la psychopathologie de l’actuel.