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«Los autores despliegan un travieso juego de referencias que sirve tanto de anzuelo para que el hallazgo de la obra perdida prenda la atención, y la codicia, de algunas de sus criaturas de ficción, como de motor para una trama que trenza brillantemente muchos hilos. (...) La música de Irving Berlin marca el tono y el ritmo de la comedia, que transcurre en ese tiempo en que el optimismo no se había deteriorado y hasta los ladrones eran en el fondo gente de bien, como se lee en el frontispicio de la obra, que los autores dedican precisamente "a esa época dorada en la que, hasta para ser ladrón, había que ser honrado". (...) Un trabajo dramático salpicado de picotazos cultos, pequeños guiños teatrales y literarios, con diálogos que son como agudos combates pugilísticos de ingenio. Un trabajo empapado de amor al Bardo de Stratford y al teatro todo». Juan Ignacio García Garzón