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L’univers de Sandra Moussempès se situe à la croisée du réel et de l’imaginaire, du monde « ordinaire » et de sa représentation, dont ses textes capturent les images et soulignent la part d’illusion. Malgré son titre, ce nouvel ouvrage émerge pourtant d’une nuit plus secrète. Il y a beaucoup de références au cinéma et à la vidéo dans Sunny girls, mais les scènes qui se déroulent sous nos yeux sont étrangement distanciées : comme si la femme derrière la caméra (ou qui écrit face à l’écran) gardait constamment à l’esprit le caractère irréparable de son geste. « Éléments du récit épique », les séquences se succèdent ainsi avec la netteté du rêve – ou du film qui en est peut-être l’émanation. Tout le trouble, tout le charme de la poésie de Sandra Moussempès naissent d’un tel écart, accompagnés de cet humour un peu acide qui n’appartient qu’à elle : « les poétesses qui misent sur le banal ne roulent pas en mobylette malgré les apparences »…