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Quelques lettres à ses parents ou à des amis nous révèlent ses goûts littéraires : Lautréamont en premier, ensuite Éluard, Baudelaire, Brecht, Aragon, Beckett, Ronsard, Follain, Neruda, Paz. « Je cherche dans la poésie, écrivait-il le 2 juillet 1975, une évasion légale, homologuée, reconnue et recommandée, mais qui n’en est pas moins totale. » Médicaments et alcools l’aidaient à lutter contre sa « névrose d’abandon » (lettre du 26 novembre 1975). L’expression « gagner sa vie » lui paraissait grotesque. Il avouait devant la vie en société : « Il est surtout impossible de s’écarter des schémas » (11 janvier 1975). Dans un climat surréaliste, André Brun exprime un rapport personnel à l’absurde et à son corollaire, l’humour noir. Voici une révolte qui exprime une totalité passionnelle, dans des formules souvent inoubliables, mais arrachées — en quelque sorte malgré l’auteur — à un tréfonds d’originalité, de souffrance, de beauté convulsive et de terreur. Ici la littérature accepte de transcrire une expérience du monde sans ratures ni mensonge.