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« L'éternité existe dans la fugacité des instants »...
Laurence Hesse, lauréate du Prix Crépuscule 2014, auteure des cinq nouvelles de ce recueil, entraîne le lecteur dans un dédale de situations plus savoureuses ou plus originales les unes que les autres, depuis l'organisation d'une fête de Noël dans un cimetière (Le Noël de Merveille Plume) jusqu'à la tragédie quotidienne que représente le Temps qui passe (Quand le temps s'en mêle), en traversant la vie fœtale de futurs jumeaux (Monozygotes), le retour aux sources de la connaissance, l'Université, dans la dernière ou avant-dernière décennie de la vie (Simone, le lait), et le dialogue sublime d'une petite fille de dix ans avec son arrière-grand-mère lors de son centenaire (Vitaline et Alfred). Toutes ces nouvelles relient entre elles des femmes par le Temps. Le Temps qui prend des dimensions différentes pour chacun des personnages : trop court, trop long, insaisissable, incertain, interrompu, oublié, perdu, toutes les variations se retrouvent dans la notion unique de l'Eternel Présent, le seul Temps vivant et vivable ... à déguster en cet instant, dans la minute qui coule, s'écoule et ne revient jamais...
Une très belle leçon de vie !
À PROPOS DE L'AUTEUR
Née en avril 68 à Liège, juste à temps pour assister aux mouvements du mois de mai, Laurence Hesse en a gardé un caractère rebelle, indocile et frondeur. Après ses humanités à l'Institut Notre-Dame d'Arlon, « avec que des filles », elle boucle des études d'ingénieur civil en mécanique à l'UCL, « avec que des garçons ». Ensuite, elle entame une carrière dans le secteur de l'énergie. Elle délaisse cette activité après quelques années, pour s'investir pleinement dans l'enseignement des mathématiques, un choix qu'elle ne regrette pas. Installée à Arlon, d'où elle est originaire, elle a deux enfants qui, s'envolant, lui laissent le temps de s'asseoir devant son écran et d'écrire. Les aléas et rencontres de la vie se sont révélés, pour elle, autant de sources d'inspiration, les idées se bousculent et se précipitent sur les touches de son clavier. EXTRAIT LE NOËL DE MERVEILLE PLUME Depuis que notre père s’en était allé, Maman était une femme très solitaire. Quand elle ne travaillait pas, elle restait à la maison et s’occupait de ses deux filles. Moi, cela me rendait triste de la savoir seule, surtout lorsque je voyais des couples d’amoureux se promener dans notre rue. Alors, je lui demandais pourquoi elle ne songeait pas à remplacer son mari. Elle me répondait toujours la même ritournelle : – Ma chérie, je préfère les enfants aux hommes. Les premiers donnent, les seconds abandonnent. Je n’ai aucun souvenir de la présence d’un homme à la maison, d’aucun homme, ni même de mon père. Il nous a quittées alors que je venais de naître. Tout ce que je conservais de lui, le plus précieusement possible, était une photo de famille à la maternité.