Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Né en 1895 à Paris, fils du général Pierre des Vallières, Jean des Vallières sort de Saint-Cyr en 1914 dans la promotion des Gants Blancs. Il commence la guerre dans la cavalerie mais, blessé, passe dans l’aviation et devient pilote dans une escadrille de chasse. Son avion est abattu au cours d’une mission. Prisonnier, il tente de s’évader à plusieurs reprises et est condamné par le conseil de guerre de Magdebourg à deux ans de travaux forcés : ce sera le thème de deux récits publiés après la guerre, Kavalier Scharnhorst et Spartakus-Parade. D’un long séjour au Maroc, il rapporte quatre romans sur la Légion étrangère. Son beau-frère, le colonel de Corta, y figure sous le nom du « Colonel de Joyeuse ». Après avoir inspiré le film « La Grande Illusion », il tourne lui-même plusieurs films d’après ses romans et de nombreux documentaires consacrés pour la plupart à la Provence. Mobilisé en 1939 dans un groupe de reconnaissance de cavalerie ; regagne le Sud-Est après l’Armistice et est nommé sous-préfet d’Arles. Il rénovera le folklore et les coutumes provençales. C’est sur son initiative que la culture du riz sera entreprise en Camargue. Condamné à mort à la Libération, est obligé de passer sept ans d’exil en Suisse. Acquitté à l’unanimité, il rentre en France et reprend son activité littéraire. Jean des Vallières est mort en 1970. On se porte volontaire pour une mission dangereuse, on s’envole en plein brouillard, on atteint l’objectif, on vire sur l’aile et, à deux pas de chez soi, on est abattu par des chasseurs ennemis. Hasard de guerre : on se retrouve au sol sain et sauf mais prisonnier. Il y en a qui se contenteraient d’attendre tranquillement la fin des hostilités, en crabes. Le lieutenant Vallerse n’est pas de ceux-là. S’enfuir devient son but premier. Et faire la vie dure à ses geôliers est le second. Avec pareil état d’esprit, rien d’étonnant s’il tente évasion sur évasion et si ses gardiens n’ont qu’une idée — le renvoyer ailleurs. D’un camp à l’autre, de plus en plus sévère, le voilà au Kavalier Scharnhorst, fort construit par Napoléon et présentement gouverné par le terrible colonel baron von Brixen. S’évader de ce fort ? Impossible, à première vue, mais « impossible n’est pas français », et les prisonniers du K.S. le prouvent de la plus éclatante façon. Aventure courageuse parmi bien d’autres racontée par un de ses acteurs, car sous le pseudonyme de Vallerse c’est Jean des Vallières lui-même qui a vécu l’épopée du Kavalier Scharnhorst au cours de la guerre de 1914-1918.