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»Worte enthalten immer Fragen. Worte bezweifeln die Bilder. Worte umkreisen die Bestandteile von Bildern und zerlegen sie. Bilder begnügen sich mit dem Schmerz. Worte wollen vom Ursprung des Schmerzes wissen.« Peter WeissDie strenge Dichotomie von unbewusstem Bild (»Das Bild liegt tiefer als die Worte.«) und bewusster, voranschreitender Sprache hat Peter Weiss, Maler und Schriftsteller, später revidiert. Da betont er die Prozesshaftigkeit von Bildern, schätzt ihre Präsenz und ihr analytisches Vermögen in der Auseinandersetzung mit historischen Ereignissen. Das Wort und das Bild ergänzen sich dann mit ihrer je eigenen Grammatik zu einem kraftvollen Ganzen, das in der Lage ist, Welt zu erhellen. Womit wir bei einer Bedeutung von »illustrare«, erleuchten, angelangt sind.Das horen-Heft 296 »TEXTURES. Bild Wort Bild« geht jedoch nicht dem Verhältnis von Bild & Text theoretisch nach, vielmehr lotet es das ästhetische Potential der Verbindung aus. Dabei ist es wichtig, dass der Impuls nicht (wie gewöhnlich) vom Text ausgeht, der bebildert sein will, vielmehr sucht sich das Bild das Wort, das dann in Beziehung zum Abgebildeten tritt. Oder einen Dialog stiftet, der sich in der Zusammenarbeit entäußert.Mit Arbeiten u.a. von: Atak und Volkmar Mühleis, Jeanette Besmer und Marcel Raabe, Sarah Deibele und Michael Spyra, Anke Feuchtenberger, Matthias Gubig und Jürgen Rennert, Line Hoven, Dorotea Huber, Sabine Riemenschneider und Anke Duda, Anna Sarvira und André Patten, Henrik Schrat, Katrin Stangl und Barbara Zoschke, Henning Wagenbreth, Klaus Waschk und Peter Kümmel, Xago und Friedrich Dieckmann, Klaus Zylla und Peter Wawerzinek.