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El sujeto que nos susurra ante cada una de las escenas de estos poemas de ?Tiempo salvado del tiempo?, de Manuel Rico, lo hace a través de la confidencia amigable, cercana, compasiva, sin dejar de ser crítica. Los poemas seleccionados por él arrancan con un paseo de padre e hijo a llevar unos claveles rojos al cementerio civil de Madrid: «Tal vez por ello, / cada uno de mayo / como si celebrara el mes de los claveles / o el resurgir de la naturaleza, / mi padre me llevaba con él al homenaje / a la boca cerrada, al silencio de niebla / de un cementerio civil que quizá fuera / lugar de libertad casi exclusivo / en aquel tiempo.»El lector sale del poema con un conocimiento (emocional, visual, histórico) superior al que lo aproximó a esos versos. Versos que no solo describen, sino que traen hasta el oído del lector un nuevo sujeto lírico lleno de posibilidades que recogen el tiempo en el espacio urbano de la revivencia en el mundo de la memoria del pasado... (FANNY RUBIO)