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La revolución de los claveles anuncia el fin del colonialismo portugués y fija la proclamación de la independencia de Angola para el 11 de noviembre de 1975. Tres meses antes, Kapuscinski se instala en Luanda, donde asiste al «éxodo blanco». Mientras, en su avance hacia la capital, la guerra por el poder en el futuro Estado soberano se recrudece por momentos. Kapuscinski, con grandes dosis de valor -o de insensatez- decide quedarse hasta el final; sumido en la mayor soledad, recorre la ciudad desierta y los frentes de batalla. Un día más con vida se aleja del relato de un reportero. Se trata más bien de un diario íntimo, escrito por un ser humano al límite de sus fuerzas y consciente de su indefensión ante la amenaza de muerte que se cierne sobre su cabeza y sobre las cabezas de tantos angoleños, soldados y civiles, que protagonizan el libro. «Lección de periodismo y de maravillosa literatura» (Joaquín Estefanía, El País).