Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Le présent ouvrage a été originellement publié en 1930, par l’éditeur parisien Firmin-Didot et Cie. Son auteur, Pierre Chauveau, aujourd’hui décédé, l’avait alors dédié à Georges d’Esparbès (« en hommage au grand barde de l’Épopée »), Conservateur du palais de Fontainebleau, qui avait préfacé l’ouvrage. Il contient les souvenirs de Jean Chevalier, né le 26 juin 1785 au Fouillet d’Azy, dans le Cher, décédé dans sa vigne le 9 octobre 1855. Souvenirs militaires, mais aussi souvenirs civils, transmis oralement par sa veuve à sa famille, recueillis par le père de Jean Chauveau, et retranscrits par ce dernier avec grand talent. N’ayant pu trouver des héritiers de Monsieur d’Esparbès, nous ne nous sommes pas crus autorisés à insérer sa préface dans cette réédition. Qu’on nous tolère seulement deux citations de son texte, qui résument bien les qualités de l’ouvrage : Je l’affirme par mon cœur qui bat : cette histoire de Jean Chevalier prendra place d’honneur dans le rustique panthéon des récits de troupiers, qui assistèrent aux campagnes de la République et de l’Empire, de 1792 à 1815. Je place au premier plan les descriptions de son pays que nous donne M. Chauveau. Vous respirerez, en les lisant, l’odeur des « grandes plaines fromenteuses du Berry » ; vous reconnaîtrez combien était pénible l’existence des « vignerons courbés qui grattaient le caillou du pointu de leur bigorne, pour permettre à l’esprit du sol de monter dans les ceps ».