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Marcel Godin est, sans aucun doute, l’un des écrivains les plus représentatifs de la nouvelle génération canadienne, celle de la révolte. Cela était clair dès son premier roman, «Ce maudit soleil», cela s’affirme avec celui-ci. Il y a là une voix — qui crie, qui pleure, qui blasphème, qui insulte ou supplie — une voix sincère, dont tous les accents touchent. Une dent contre Dieu retrace le douloureux itinéraire d’une adolescence québécoise. De l’âge tendre à l’âge adulte, le chemin de cette croissance désespérée et tenace, traverse une enfance mal aimée et des années d’internat chez les "Pères", sous un ciel lourd de frustrations et de culpabilités, que déchirent, parfois, des rêveries, presque des "illuminations" fulgurantes, seules évasions possibles de la réalité. Et quand celle-ci, finalement, l’emporte, c’est la faillite. Faillite de la famille, faillite de l’éducation, faillite de l’amour... Roman "barbare" à bien des égards, mais combien déchirant !