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Cyril Drecker, un antiquaire de Toronto, est mort par asphyxie dans l’incendie criminel de son commerce. Accident, suicide, meurtre prémédité ? Charlie Salter, à qui le surintendant Orliff a confié l’affaire – le Bureau des homicides est toujours aussi débordé –, trouve aussitôt plusieurs suspects potentiels. L’employé de Drecker, Dennis Nelson, n’appréciait guère son patron, et son ami Jake – Dennis est bisexuel – n’a pas été vu depuis le soir de l’incendie. L’épouse et associée, quant à elle, ne pleure guère la mort de son mari, pas plus que Julia Costa, la maîtresse de Drecker qui, d’ailleurs, est aussi l’amie de Dennis… Mais Charlie sait que tant qu’il n’aura pas trouvé le mobile du crime, il ne pourra coincer son auteur. Alors, tout en gérant sa vie au mieux – Annie a découvert des magazines pornos dans la chambre de leur fils Angus, lui-même doit passer à l’hôpital des examens médicaux qui l’angoissent… mais pas autant que la porte moustiquaire qu’il doit réparer ! –, Salter cherche à comprendre « pourquoi » on a incendié le commerce de Drecker. Le problème, c’est que le temps presse s’il veut résoudre l’affaire avant qu’on la lui retire !