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Vers la flamme : Alexandre Scriabine intitulait ainsi l’un de ses derniers messages, un “poème” pour piano. Ce recueil s’ouvre sous le signe de cette œuvre, avant d’interroger tour à tour tels objets devenus, par l’épreuve du poème, objets seconds ; telle création énigmatique, dont la nuit n’est déchirée que par une flamme vacillante, la flamme de Georges de La Tour ; ou encore, livré au pouvoir de l’inquiétude, l’atelier de Georges Braque. Derrière le soleil et les masques, dans la matière des signes et leurs métamorphoses, le feu livre son visage ultime : l’œuvre et sa négation perpétuelle, restituée à la parole par son inachèvement même, par la mort transgressée.