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En el prólogo de este poemario, Itziar Zaga escribe: «Leyendo a María precipitadamente, sin el tiempo ni la ceremonia íntima que precisarían sus hipnóticas palabras, la he imaginado sentada en el suelo de cualquier cocina. Hablando suave pero incisivamente (como habla y es ella) a Sylvia Plath. Creo que le diría que hay horizontes más habitables y hermosos para una poetisa colosal que el gas. Apuesto a que sería capaz de convencerla para que sacase su cabeza de aquel horno que representa el asfixiante fracaso de tantas mujeres. Le inyectaría algo de su propia supervivencia, exhausta pero gloriosa. Una píldora de feminismo (que no de litio) para mitigar tanta desolació». Dice Concha García: «Este texto, que planea entre lo poético y el áspero relato cotidiano, no parece perseguir el objetivo de tranquilizar a quien lo lea. Tampoco quiere dar lecciones de poesía si consideramos que la poesía, como dijo Goethe, es el lenguaje de lo indecible, porque lo que aquí se dice no es metafísico, entra en otro orden, en el orden de lo real a secas, sin ornamentos. Lo real que cada día refulge es un mundo generador de desechos, de basura emocional y detrito. El lenguaje ùescribió Monique Wittigù arroja manojos de realidad sobre el cuerpo socialà».