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"Die letzten sechzig Kilometer von Kirkenes bis Grense Jacobselv fuhr ich beinahe wie im Rausch. Zuletzt nur noch als Schotterpiste tangierte mein Weg mehrfach den Grenzfluss Jacobselv. Hier war Norwegen zu Ende und das russische Reich mit seiner unendlichen Ausdehnung begann, ein Land, das bis zum Pazifik in Wladiwostok reichte. Grenzpfähle zwischen Straße und Fluss bildeten meine ständige Begleitung. Genau in diesem Moment traf es mich, das Gefühl einer undefinierbaren Verantwortung für etwas, das ich selbst gar nicht verschuldet hatte. Ein dumpfes Unwohlsein im Blick auf meine Herkunft aus dem Land der Täter. Eine diffuse Beschwerde, die ich immer wieder verdrängt hatte, die aber endlich nach Befreiung verlangte."Eine persönliche Katastrophe wirft den Ich-Erzähler Michael aus der Bahn. Seine Frau Alexandra stirbt bei einem Autounfall, bei dem er selbst am Steuer sitzt. Er fühlt sich schuldig und ein Abgrund tut sich auf. Keine noch so gut gemeinte Hilfe, erreicht ihn. Um sich aus dem Martyrium von Verzweiflung und zermürbenden Selbstvorwürfen zu befreien, beschließt Michael, sich auf eine lange Reise bis in den höchsten Norden Europas zu begeben, eine Tour, die er noch mit Alexandra geplant hat. Diese Fahrt soll ihm einen Weg zurück ins Leben und zu sich selbst eröffnen. Aber alles Bemühen gerät in Gefahr, als er mit dem Leben seines Vaters Hermann konfrontiert wird, der in der Arktis Soldat in Hitlers Armee war. Spielt dessen Trauma in Michaels Leben eine weitaus größere Rolle, als er bislang vermutet hat?