Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Poète et dramaturge, Quentin Ben Mongaryas poursuit, aux abords du fleuve Ogooué, la réalisation d'une oeuvre poétique qui dissout souvent les frontières qui distinguent, aujourd'hui, le poème du conte. La place du poète négro-africain est localisée et redéfinie dans ces poèmes. À l'intérieur d'un monde dont il dit les peurs et les angoisses et cherche puis découvre les espérances secrètes, le poète pratique une langue à plusieurs voix : l'espace et l'expérience s'ouvrent à la nostalgie des origines tout en dévoilant des terres nouvelles. L'amour de la femme gabonaise est marqué d'un sceau solaire. La passion est extatique, elle irradie et inonde les corps avant de galvaniser les rêves. Le poème peut explorer et dénommer des univers féériques, puis multiplier les métaphores afin de mieux décrire des métamorphoses humaines et animales. Parfois, quand la lune luit, les spectres, les génies nocturnes et les êtres merveilleux peuplent le monde. Mais le réel convoque le poète : les villages meurent, les villes prolifèrent, les sites anciens disparaissent. L'Afrique se crispe, gémit et geint. Le paradis perdu est parfois le lieu à partir duquel la parole du consolateur s'extravase.