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La première partie de ce livre est consacrée à la célèbre affaire de Joseph Kaczmarczyk, accusé d’avoir tué une petite fille de douze ans, et acquitté. Le procès de Reims constitue un cas unique dans les annales judiciaires. Alors qu’on s’aperçoit de l’« erreur », de longues années après le procès, lorsque l’innocent a été guillotiné, ou qu’il a passé des années en prison, par suite d’un concours de circonstances exceptionnelles et des efforts de la défense, l’erreur judiciaire est apparue avec éclat à l’audience. Quand la partie civile eût demandé la condamnation, le Ministère Public réclamé le châtiment suprême, Joseph Kaczmarczyk fut acquitté aux acclamations de la foule qui, quelques instants auparavant, le vouait à la mort. On trouvera dans le livre de Jacques Isorni l’essentiel du dossier. Ainsi, l’opinion publique découvrira-t-elle, non sans effroi, de quelle défaillance sont capables les organismes d’État chargés de la Justice, au XXe siècle, dans un pays civilisé. À cette occasion, un problème qui touche à la liberté individuelle est soulevé : celui du secret de l’instruction. Faut-il, ou non, maintenir le secret de l’instruction ? La deuxième partie du livre est une pièce que l’auteur a écrite avant le procès de « Joseph K... ». Le deuxième acte, l’acte essentiel, se déroule, tout entier, dans le cabinet d’un juge d’instruction. Et, déjà, est posé le problème du secret dans l’information judiciaire. Si la pièce elle-même est, surtout, destinée à montrer combien est multiple la nature de chaque individu, et combien il est malaisé de connaître la véritable, il n’en demeure pas moins que se situant, presque toute entière, dans le cadre judiciaire, elle est un élément important dans la recherche de ce que doit être la découverte de la vérité pénale.