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?Näher am Tod kann man nicht sein. Und nicht näher an der Liebe." Thomas Karlauf, Die Welt
Berlin Tegel, im Herbst 1944: Der 37 Jahre alte Jurist und Widerstandskämpfer Helmuth James von Moltke wartet auf seinen Prozess vor dem Volksgerichtshof ? und auf seine Hinrichtung. Während sowjetische Truppen auf seine Heimat Kreisau in Schlesien vorrücken und Weggefährten gehenkt werden, wechselt er täglich Briefe mit seiner Frau Freya, die vom Gefängnispfarrer Harald Poelchau unter Einsatz seines Lebens fast täglich an der Zensur vorbeigeschmuggelt werden. Es geht um ihre Liebe und die Lage in Kreisau, die Situation im Gefängnis und die Vorbereitung auf den Tod, aber auch um den Widerstand und um Wege zur Rettung.
?Diese Korrespondenz ist ohne Vergleich. Hier schreiben zwei Menschen um ihr Leben und überantworten sich doch, in Gottes Namen, dem nahenden Tod. Jeder Brief kann der letzte sein, der Todestag schiebt sich hinaus. Es sind Briefe, die vom Menschenmöglichen handeln. Man liest sie atemlos, obwohl das Ende bekannt ist: die Hinrichtung Moltkes." Elisabeth von Thadden, DIE ZEIT