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Se dan aquí cita, por vez primera, dos intervenciones públicas de Jacques Derrida en torno a la misma cuestión de la «psique judeo-alemana» y a sus lecturas políticas, lingüísticas y filosóficas. Por un lado, el discurso pronunciado con ocasión de la recepción del premio Adorno, once días después del 11 de septiembre de 2001. A partir de una carta (en francés) de Walter Benjamin a Gretel Adorno, y del múltiple sentido de la palabra francesa 'fichu', se trata ahí «del sueño, del idioma nacional, de la lengua extranjera y de la lengua del sueño, de la herencia francesa de Adorno y de las relaciones entre Adorno y Benjamin». Por otro lado, una conferencia dada en Jerusalén en 1988, «Interpretations at war. Kant, el judío, el alemán», durante un coloquio consagrado a «Las instituciones de la interpretación». Se aborda en ella el problema de la nacionalidad y el nacionalismo filosóficos a partir de un texto de Hermann Cohen («Deutschtum und Judentum»), de la lectura que de él hace Franz Rosenzweig, y del parentesco íntimo entre el espíritu alemán y el judaísmo en la figura de Immanuel Kant, «Moisés» del idealismo y teórico de la paz perpetua.