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Ende der 1920er-Jahre erkranken in der Familie Fröhlich aus Oberglatt drei von vier Kindern an Tuberkulose - wie ihre Mutter zuvor auch. In der Schweiz herrscht die Weisse Pest.«Wer sagt mir, wie lange ein Mensch leben kann, so wie ich es jetzt tue? Das möchte ich wohl wissen und wo der Weg endet?», schreibt Emmy Fröhlich nach dem Ausbruch ihrer Krankheit. Und weiter: «Wer mit zwanzig Jahren auf dem toten Punkt angelangt ist, der ist wahrhaftig nicht zu beneiden. Wer so nervös und innerlich zerrissen ist, wie ich es bin, dem die Gedanken davonrennen in wilder Hast, dem der Verstand zu schwinden beginnt.» Bruder Hans und Schwester Gertrud teilen Emmys Schicksal und müssen über Monate und Jahre zur Kur in die Höhenluft nach Clavadel. Nur Gertrud überlebt und verwahrt die zahlreichen Briefe, welche die Geschwister zwischen 1928 und 1935 unter sich austauschen, bei sich zu Hause.Dieser Nachlass zeichnet ein getreues Bild von jungen Menschen, die an Tuberkulose erkranken und gezwungen sind, ein Leben zu führen zwischen Hoffen und Bangen.