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« La vie et l'ouvre d'André Arbus (1903-1969), écrit Yvonne Brunhammer, sont l'histoire d'une fidélité à la tradition française et d'une quête "d'unité dans la vie artistique" de son époque. » Le retour à la tradition, prôné dans son article sur le mobilier, ouvre en 1935 une voie nouvelle entre l'ébénisterie traditionnelle défendue par Ruhlmann et l'« équipement » standardisé de Le Corbusier. Le décorateur choisit la mesure de l'homme, « cette géométrie du cour » qu'il reconnaît dans le classicisme du mobilier français. Fournisseur attitré du Mobilier national dans l'immédiat après-guerre, il crée des meubles, des tapis, des luminaires pour l'Élysée, le château de Rambouillet, les ministères et les ambassades. Cet humaniste témoigne d'un registre créateur très étendu. Ordonnateur de prestigieux paquebots, architecte d'« Une maison de la famille française » à l'Exposition de 1937, des mas du pays de Crau ou de monuments maritimes comme le phare du Planier, il se consacre à partir des années 50 à la sculpture, ouvrant son classicisme maîtrisé sur une vision de l'homme émouvante.