Il en est ainsi des êtres que l'on a connus : leur silhouette, leurs paroles se sont estompées, rideau d'ombres à peine perceptibles. Ce n'est pas seulement le temps qui a contribué à ce passage au crible mais, peut-être, le peu d'attention portée alors, comme si cette fraternité des corps, des paroles perdurait, inaltérable.