La Révolution Française s'est efforcée de supprimer les privilèges antidémocratiques des riches et puissants exploitant à leur profit le peuple réduit au servage. Hélas, la Charte des Nations Unies (1945) en légitime à nouveau la croissante iniquité en garantissant à toute nation le droit d'user de sa souveraineté pour s'enrichir sans limites, fût-ce au détriment de toutes les autres.
La démocratie est de ce fait dans l'impasse. Elle souffre d'une aporie qui ruine son fondement éthique et moral.
L'analyse du privilège hégémonique accordé aux nations souveraines conduit l'auteur à proposer les remèdes que nous pouvons et devons apporter aux violences croissantes qui, de ce fait, ravagent notre espèce et les ressources limitées de sa planète.
Hélas nous en manque encore la volonté politique majoritaire. Il s'ensuit qu'où bien notre espèce :
ou bien elle refusera de s'amender et elle deviendra toujours plus violemment déséquilibrée naturellement et culturellement. En ce cas, elle disparaîtra après de terribles souffrances n'épargnant ni les riches ni les puissants.
Un croissant déséquilibre mondialisé n'est ni durable ; ni viable.