Le temps des saisons,
Celui de l'attente de signes que l'on décèle en hiver,
Ceux du renouveau et du printemps.
Les sons de l'Angélus qui portent un espoir au matin,
Et au soir une bénédiction.
Attentes des hommes dans la détresse et la nudité,
Attente et espoir des hommes ensemble,
Leur fureur et leur haine comme des angélus
D'un monde à venir.
Et le médiateur qui s'efforce et s'épuise à créer.
Des artifices appelés à vivre et à mourir.
Nos artifices pour vivre et pour mourir.