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Chacun a eu — ou a rêvé d’avoir — une aïeule qui raconte des histoires « d’autrefois ». Antoinette Ribot, surnommée « Toinette », reste — à travers ses écrits — cette grand-mère universelle. À la fin de sa vie, intervenue en 1977, elle a écrit — pour ses petits-enfants — une suite d’anecdotes évoquant sa vie, ou celle de ses ancêtres. Ce sont des témoignages sur nos campagnes au XIXe siècle et au début du XXe. Ils prennent racine en Beauce, mais ils appartiennent à la mémoire de toute la petite paysannerie française. Un monde qu’a bien connu — entre les deux guerres — le graveur orléanais Jeanne Champillou. Cette artiste laisse une œuvre essentielle. Disparue en 1978, elle a rejoint les mânes des grands graveurs français. Sa discrétion lui a interdit de moissonner — de son vivant — le fruit d’un labeur acharné. Son trait, classique d’apparence, va au delà du réalisme. Scènes villageoises, agriculteurs aux champs, portraits de paysans, sont — à l’évidence — des documents sur une société aujourd’hui anéantie. Mais ses gravures, où l’encre obscure laisse jaillir la lumière, sont surtout un plaidoyer pour une vie simple et vraie, un cri de foi en l’homme, un hymne à la création. Ce livre contribue à la notoriété de l’œuvre de Champillou, tâche à laquelle s’emploie déjà l’association « Le Clos de Joÿe ». « Chez nous par là » est aussi une rencontre posthume entre une artiste et une paysanne. Partons avec elles à la recherche d’un plaisir oublié : lire des histoires de grand-mère, en feuilletant un livre d’images.