Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Atteinte d’un cancer des ovaires, Anne Matalon a dû se battre, et pas seulement pour sauver son corps : si c’est de la chimiothérapie qu’il s’agit ici, c’est que celle-ci attaque les mots autant que les cellules. Ce que raconte ce livre, c’est l’histoire d’un combat total, sans merci, à la vie à la mort. Le miracle vient de ce que l’auteur réussit à nous émouvoir profondément sans jamais larmoyer sur son sort, bien au contraire : on sourit souvent en lisant « Chimiofolies », et aussi la fiction qui suit ce témoignage : La route de Saint Antoine. À qui s’interroge sur la fonction de la littérature, Anne Matalon propose cette hypothèse : raconter, n’est-ce pas la continuation de la lutte par d’autres moyens ? L’application qu’elle en a tirée en écrivant ce livre vaut le détour. À lire et à relire, car il y a là de quoi penser d’urgence !