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L’effondrement de la droite n’est en rien un accident conjoncturel. Depuis que de Gaulle a décidé de faire élire le président de la République au suffrage universel, les institutions de la Cinquième République sont « polluées », explique Philippe Reinhard, chroniqueur averti de la vie politique. La droite, qui a toujours considéré l’Élysée comme un élément de son patrimoine, ne cesse de voir naître en son sein des « écuries » rivales de prétendants à la fonction suprême. Une guerre picrocholine sévit, dès lors, depuis un quart de siècle au sein de l’actuelle opposition. Dans la sélection de ses chefs de file, le talent de candidat l’emporte sur la capacité à gouverner. Cette conduite suicidaire, où les protagonistes ne se positionnent que les uns par rapport aux autres, a permis l’émergence d’une dérive fascisante. Comme l’écrit Philippe Reinhard, elle a laissé « les barbares camper aux portes de la République ».