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Selon Radjoul Mouhamadou, le Québec n’a pas à rougir de sa parlure bâtarde, ni de ses barbarismes ni des coutures et des triturations qu’il inflige au français : bâtardes, toutes les langues le sont. Le vernaculaire québécois est ce que le métier à tisser de l’histoire, les déperditions de la géographie, l’intensité des rencontres, la permanence des emprunts lexicaux et la démesure des paysages frémissants ont fait de la langue française en quatre siècles de présence en Amérique du Nord.
Dans cette synthèse éclectique, aux frontières de la littérature, de la linguistique et de la philosophie, l’auteur propose de concevoir désormais le rapaillement et la métisserie de la langue québécoise comme des ferments de son devenir créole. En livrant les « secrets » qu’il a découvert depuis son arrivée au Québec, Radjoul Mouhamadou nous amène à revisiter notre rapport à la langue et l’identité. Les Québecois, conclut-il, ont mieux à offrir au monde que la complainte d’un peuple de naufragés inconsolables du passé.