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Daniel Schmids Kino-Anfänge lagen zwar in Deutschland, wo er in Berlin Film studierte, früh intensive Kontakte in die Bewegung des Jungen Deutschen Films pflegte und bald zum Kreis um Rainer Werner Fassbinder gehörte, in dessen Filmen er auch als Darsteller mitwirkte. Doch war er durch und durch ein Schweizer Regisseur.Aufmerksam wurde die Öffentlichkeit auf ihn, als der junge Bündner mit jüdischen Wurzeln Fassbinders heftig umstrittenes Stück "Der Müll, die Stadt und der Tod" verfilmte (Schatten der Engel) und 1976 in Cannes zeigte. So richtig kam seine Regiekarriere nach 1980 in Gang, als er sich in einer Vielzahl von Genres profilierte. Das Spektrum reicht von der berührenden Beobachtung gealterter Operndiven im Altersheim (Der Kuss der Tosca, 1984) über die Neulektüre literarischer Klassiker, etwa Jenatsch (1987) nach C. F. Meyer, mehrere Kurzfilme oder eine Bestandsaufnahme schweizerischer Filmgeschichte, bis zum grotesk-postmodernen Beresina (1999), der viel ästhetischen wie politischen Zeitgeist atmet. Ein "Realist" wollte Schmid nie sein. Radikale Ästhetik paart sich mit der Affinität zu mythologischen (Kino-)Bildern, zu großer Oper, Popmusik oder Kitsch - sie zeugen von barocken Neigungen und Motiven abgesunkener kultureller Erinnerung.