L'oeuvre, dans ses déclinaisons,
réclame la lumière des cimaises et des
regards. Ici ne sont recueillis, à demi
silencieux, que les échos triviaux de
l'avant, de la singulière parade qui
trouve son royaume au coeur de l'atelier.
Objets, signes, traces, tous renvoient à
l'origine, finalement assez solaire, du
magma, de ce qui précède. Les photos
sont autant de fenêtres que les textes
ponctuent, humbles hommages avant le
rituel et la cérémonie du dévoilement qui
leur donnent sens.