Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Este ensayo, aparecido en 1795, cuando F. W. J. Schelling apenas contaba veinte años de edad, es la tercera obra publicada por el filósofo, y exhibe ya una madurez y una perfección formal tan inusitadas que hicieron que se hablase unánimemente de su autor como de un «genio precoz». Schelling continúa en este escrito la preocupación heredada de los postkantianos Schulze, Maimon y Reinhold por hacer realidad el «sueño» de Kant de transformar la filosofía en ciencia, y desarrolla la pretensión de Fichte de reducir todo el sistema kantiano a una única proposición: Yo=Yo. La tesis central del ensayo sostiene que el principio de toda filosofía es el Yo absoluto conocido a través de la «intuición intelectual». Schelling concibe este Yo absoluto como libertad, como pura actividad creadora, otorgando preeminencia a la acción sobre el pensar y a la motivación moral sobre el conocimiento.