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Durch eine peinliche Verwechslung wird Dr. Franz Bummerl, Direktor der Politischen Akademie der österreichischen Vaterlandspartei, die sich aus der vormaligen Volkspartei zurückgebildet hat, österreichischer Bundeskanzler. Widerwillig fügt er sich, nur um fortan ein höchst eigenwilliges Regiment zu führen, das von Hoppalas und Skandalen erschüttert, jedoch - wir ahnen es! - nicht aufgelöst wird. Es menschelt von früh bis spät, was Bummerl nicht daran hindert, große Reformen umzusetzen, wie etwa dass er in der Gemeinsamen Schule der 10- bis 14-Jährigen Latein als Pflichtfach einführt. Am Ende seiner Amtszeit gewinnt er sogar knapp die Wahlen - und tritt sofort zurück. Der Roman versteht sich als Schlüsselroman, war doch der Autor lange Zeit selbst Polit-Insider, und zugleich als satirische Reaktion auf die Politik der 20er Jahre dieses Jahrhunderts. Jede Menge Klischees über den homo Austriacus machen die Lektüre zu einer vergnüglichen Reise durch die Provinzen und politischen Epizentren des Landes. Und ein altes Bonmot feiert fröhliche Urständ: "Politik ist nicht, wie der kleine Maxi sich das vorstellt. Es ist viel schlimmer."