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« Faut bien que jeunesse se passe ! » dit la vieille. Formule populaire, pour excuser parfois les écarts des garçons et des filles. Mais la jeunesse ne fut-elle pas, tour à tour ou simultanément, turbulente et assagie, contestataire et régentée ? Fut-elle toujours continente avant le mariage, ou a-t-elle seulement appris, à la fin de XIXe, à « maraîchiner », et à « fêter Pâques avant les Rameaux » ? De quelles libertés disposaient les célibataires ? Celles de troubler l'ordre public pendant le Carnaval, ou la vie de conscrits, avec l'indulgence des plus âgés ? Les jeunes filles pouvaient-elles échapper aux pressions familiales, à la crainte du prêtre confesseur, à la rigueur morale de l'association des Enfants de Marie ? La bourgeoisie conquérante du XIXe siècle, soucieuse d'apparences et de moralité, a mis bon ordre à tout cela. Municipalité et clergé, associations et familles ont encadré, de plus en plus, cette jeunesse, réduisant ses libertés publiques… mais pas l'incoercible évolution de ses mœurs privées !