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Il y a des gens — d’âge surtout — qui affirment impérativement « l’amour-c’est-ça », « la-vie-c’est-ça ». Le jeune héros de ce livre traverse au contraire l’existence avec un étonnement constant, surpris d’y voir un jeu absurde où chacun semble tenir un rôle et même plusieurs. Tout y est « conventions collectives » et le sens de la vie lui paraît assez peu clair... Ces menues découvertes ne l’empêchent pas de mener sa vie à lui comme une promenade, et d’en tirer des joies pures et fugitives. Sa femme, Jo, des copains, quelques filles qui passent dans le souvenir, l’air du temps, le hasard des rencontres et des virées font d’abord de ses jours une balade éblouie, insouciante, un rien nostalgique. Mais peu à peu il lui semble que le banal vieillit tout, même l’amour, que le fric envahit les discours de chacun, que les copains s’éloignent avec des allures d’anciens combattants, presque de faux vieux comme ses collègues de bureau. Heureusement qu’il y a Jo, lentement arrachée à sa petite bourgeoisie natale, Jo, quotidien mystère dont le bonheur dépend, peut-être et seul refuge contre la solitude dans un monde de pantins et de masques. Avec une simplicité qui n’est pas dépourvue d’adresse, on s’en doute, un humour discret à la Boris Vian, Luc Mohler parle le langage sans apprêts de sa génération pour dire des choses essentielles sur le ton d’une confidence ou d’une facétie. Sa critique du temps n’a rien d’une contestation tapageuse, et son analyse de l’amour ne louche pas vers l’érotisme, rare discrétion. Il ne faut pas s’y tromper, toutefois : c’est ainsi qu’il va peut-être plus loin, plus profond, plus juste, avec un talent neuf.