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Friderike Zweig, la primera esposa del gran escritor austriaco Stefan Zweig (cuya biografía publicará papel de liar próximamente) narra en estas memorias su niñez en Viena, su primer matrimonio y su creciente dedicación a la literatura antes de trabar una estrecha amistad con quien acabaría siendo su marido. Fueron treinta años de matrimonio durante los cuales Friderike influyó decisivamente en los radicales cambios de mentalidad experimentados por un autor que alcanzó cotas de fama rara vez igualadas en la historia de la literatura y que terminó sus días suicidándose en Brasil cuando el «mundo de ayer» que con tanta elocuencia quiso evocar yacía finalmente triturado por la máquina depuradora del nazismo. Destellos de vida es la recreación de ese mundo desde el observatorio de la gran mujer que había detrás del gran hombre; y es también un abigarrado escenario donde muchos próceres del pasado siglo (Rilke, Rolland, Schweitzer, Einstein, Gorki, Mann, Hesse, Toscaninià) interpretan sus heroicos, cómicos, dramáticos o anodinos papeles; pero es además, y sobre todo, el testimonio único de dos intensas peripecias intelectuales en una Europa atenazada por el espectro de dos guerras devastadores. «Nací en 1881, en un imperio grande y poderoso ùla monarquía de los Habsburgosù, pero no se molesten en buscarlo en el mapa: ha sido borrado sin dejar rastro. [à] De manera que ahora soy un ser de ninguna parte, forastero en todas; huésped en el mejor de los casos. [à] Para mi profundo desagrado, he sido testigo de la más terrible derrota de la razón y del más enfervorizado triunfo de la brutalidad; [à] nunca jamás sufrió una generación tal hecatombe moral, y desde tamaña altura espiritual, como la que ha vivido la nuestra. Carta póstuma de Stefan Zweig a Friderike (febrero de 1942)