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La publicación de Días de guardar en la mítica colección "Novela negra" de la editorial Bruguera supuso en 1981 un auténtico revulsivo para el género policíaco español. Prácticamente por primera vez, un delincuente, Antonio Domínguez, protagonizaba la acción con un ritmo trepidante, narrando en primera persona sus crímenes con un lenguaje de una dureza rotunda. Carlos Pérez Merinero lograba un clásico de gran verosimilitud que no pretendía justicar los actos de su personaje, sino describir la hiprocresía de una sociedad que miraba hacia otro lado mientras se corrompía al mismo ritmo que el canalla psicópata del relato. Al rigor literario conseguido por Pérez Merinero y a la originalidad de su planteamiento, añadía momentos de humor negro perfecta y corrosivamente dosificado.