Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Die beiden »Argumente des Dritten Menschen« in Platons Dialog Parmenides sind zentraler Bestandteil der Ideenkritik. Die Kritik zielt auf die Ideenhypothese, die Platon Sokrates in den mittleren Dialogen entwickeln lässt. Wären die Einwände schlagkräftig, hieße dies, dass Platon Schwierigkeiten der Ideenhypothese erkannt hat und sich gezwungen sah, sie zu modifizieren oder aufzugeben. Viel scheint an einem korrekten Verständnis der Argumente zu hängen, die Meinungen dazu gehen hingegen stark auseinander. Manche halten die Einwände für pure Ironie oder einen Witz, andere fassen die Argumente als stichhaltig auf und behaupten, Platon habe nach dem Parmenides auf die Ideenannahme verzichtet. Überzeugender ist eine dritte Position, die auch in der Studie vertreten wird. Demnach sind die Argumente zwar ernstzunehmende Einwände, die Platon aber parieren könnte. Um dies zu zeigen, beginnt die Arbeit mit der Präsentation von formal gültigen Rekonstruktionen der Argumente. Danach werden die beiden impliziten Annahmen der Argumente, die »Selbstprädikationsannahme« und die »Nichtidentitätsannahme«, untersucht, um zu sehen, ob Platon diese Annahmen vertreten hat, wie sie ihm zufolge zu verstehen sind und welche Veränderungen er daran hätte vornehmen können und müssen, um die beiden Regressargumente abzuwehren. Dabei zeigt sich, dass beide Annahmen Platon zu Recht zugeschrieben werden können. Das zweite Argument, das auf dem Vergleich des Verhältnisses der Ideen zu ihren Teilhabern mit jenem zwischen Urbild und Abbild fußt, gibt indes Aufschluss darüber, in welcher Weise entweder die Nichtidentitätsannahme oder die »Eines-über-Vielem«-Annahme verstanden werden müssten, um die Argumente unschädlich zu machen.