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Liebe in den Zeiten der Leibeigenschaft - die Geschichte um die Liebe, der schönen Guliswardi zum kühnen Durmischchan erregte die Herzen, des Volkes - und den Zorn des Adels: Angeblich von zuhause aufgebrochen,, um für sich und seine Liebste vor der Hochzeit eine gemeinsame, Zukunft aufzubauen, wandelt sich Durmischchan vom freigelassenen, Leibeigenen zum skrupellosen Emporkömmling, der seine materiellen, Ziele verfolgt und so seine Liebe verrät. Doch Höhe kommt vor dem Fall, und seine Vergangenheit droht ihn unerbittlich einzuholen, als feindliche, Heere das Land bedrohen. In der nicht minder dramatischen Parallelgeschichte, des Osman Agha, die bis nach Konstantinopel führt, scheitert, ebenfalls eine Liebe an den feudalen Verhältnissen in Georgien., In einer Rahmenhandlung, in der sich Jungen an mehreren Abenden, die Schauergeschichte aus vermeintlich grauer Vorzeit erzählen, enthüllt, sich nach und nach die exotische georgische Legende, die - wie, bei Shakespeare - einen unwiderstehlichen Sog entfaltet, je mehr ihre, Figuren ihrem unausweichlichen Schicksal entgegengehen. Als Die Burg von Surami 1859/60 in der liberalen Zeitschrift Ziskari (Morgenröte) des Dichters Giorgi Eristavi erschien, schlug die politisch, anstößige Sage um die Leibeigenen in der stark feudalen Gesellschaft ein, wie eine Bombe, und einige Adlige wollte deren Autor am liebsten gleich, im Fluß Mtkwari (Kura) ertränken. Ohne Tschonkadses mutiges Buch wären viele, spätere Werke der georgischen Literatur, die daran anknüpfen, kaum denkbar gewesen. Die Burg von Surami wurde 1985 als letzter Spielfilm des berühmten, in der Sowjetunion schikanierten Tifliser armenischen Regisseurs Sergej Paradschanov (1924-1990) verfilmt. Der Regisseur Ivan Perestiani (1870-1959), der ab 1920 in Tbilissi lebte, hatte bereits 1922 einen Stummfilm zum gleichen Stoff vorgelegt.