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Auf den ersten Blick scheint das literarische Werk Hans-Ulrich Treichels geradezu verdächtig wenig von Wolfgang Koeppen beeinflusst zu sein, bedenkt man dabei die zentrale Rolle, die dieser Autor für das wissenschaftliche Oeuvre des Germanisten Treichel spielt. Und doch: Auslassungen, Leerstellen und Abwesenheit im Erzählen sind nicht nur Aspekte des methodischen Ansatzes, mit dem sich Treichel in seiner Dissertation Koeppen nähert, sondern darüber hinaus auch die Ansatzpunkte seiner eigenen Poetik: Nicht nur die motivische Verwandtschaft, das retrospektive Kreisen um die eigene Biographie samt ihrer Verlustserfahrungen, sondern auch die Inszenierung als Schreibender erscheinen an manchen Stellen fast deckungsgleich. Dies ist ein verwunderlicher Befund angesichts der Schreibhaltungen und -stile, die zuweilen unterschiedlicher nicht sein könnten. Was genau wird also von Treichel für sein eigenes Schreiben übernommen, wo kommt es zu palimpsestartigen Ãberschreibungen? Wie kann er sich lesend und schreibend an Koeppen annähern und in gleicher Weise von ihm distanzieren? Wie wirkt sich dies letztendlich auf die eigene Textproduktion und den Umgang mit dem Autobiographischen aus?