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Quatre ans avant la Révolution de 1789, un lit « à la polonaise » a été livré à l’hôtel de Balleranges, en prévision des noces sans joie de Philippine, jeune fille chez qui la femme a percé trop tôt dans l’enfant. Du XVIIIe siècle touchant à sa fin, Philippine de Balleranges n’a retenu que la douceur de vivre. Sournoisement, élégamment, mais avec fermeté, elle a su se débarrasser du corset moral — tout de convenances et de principes — qui constitue l’armature indispensable à l’éducation des filles de son temps. Elle a fait « sa » Révolution avant l’heure, sans se départir d’une dignité parfaite. Cependant, autour du lit « à la polonaise », ont rôdé des ombres insolites... L’une d’entre elles, la plus chère à son cœur, rejoindra Philippine à Venise, où les circonstances — et un sot mari — l’ont conduite dans les milieux français de la contre-Révolution. Cabale et amour... amour surtout, dont elle retrouvera plus tard la trace dans le Paris lugubre des années 93 et 94. Il y faut bien vivre, pourtant ! Encore que les persécutions, les prisons, et la perspective de l’échafaud, entachent tout de précarité. Philippine parviendra-t-elle à vivre ? Gilles de Chaudenay qui, dans son précédent ouvrage (Physiologie du Jockey-Club, éditions del Duca, 1958), avait, avec précaution, introduit le lecteur dans l’enceinte fermée du Jockey-Club, lui fait traverser, cette fois-ci, avec Divine citoyenne, les derniers salons de l’Ancien Régime et la foule au visage multiple de la Révolution.