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« Le 16 juillet 1952 au matin, à Madrid, dans la prison Carabanchel, le duc Juan de Serr fut exécuté, c’est-à-dire étranglé au garrot. Il se trouve que j’ai été étroitement mêlé, pendant quelques heures - ses dernières heures de liberté - aux circonstances qui provoquèrent sa condamnation. Ce sont ces heures que je me propose de raconter ici. « Oui, dit le duc, les gens n’y comprennent rien. Ni à moi ni à l’autre, Juan Tenorio. Et d’abord, aujourd’hui, il n’y a plus de don Juan. Nos séducteurs ne cherchent plus guère qu’à éveiller le désir. Alors que don Juan, le vrai, « el burlador », c’est l’amour qu’il voulait provoquer. Entendez-moi : pas du tout le désir, ni même la passion amoureuse, mais bel et bien l’amour, l’Amour avec un grand A, celui qui rend les femmes belles... du moins les femmes capables d’éternité. « Il se tut. « Dehors, dans la nuit, les chiens lançaient parfois des aboiements qui résonnaient dans cette pièce somptueuse et close, comme le rappel d’on ne savait quelles forces brutales et stupides rôdant dans les ténèbres extérieures. »