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Poe como referente, sus personajes femeninos (Morella, Annabel Lee, Berenice..., «La que con los dientes / te ha marcado la lengua»), que seducen y aterran. Su atmósfera, el pavor que produce su obra. Eli Tolaretxipi se sumerge en ese cosmos lleno de amenazas, deseos y sensaciones extremas, y respira la materia densa que lo habita. El agua como espacio en el que desenvolverse. Los sueños, igual que en sus otros libros, integrados en la mirada, al mismo nivel. «La vida es espesa.» Amor y libertad como paradigmas; entretanto, en el viaje, dolor, miedo, placer, vértigo. «Lo primero que pierdo al caer / en el pozo es la sintaxis.» Son versos secos, sin adornos, pulidos hasta el extremo, casi hasta el hueso y, sin embargo, llenos de carne (rostro, boca, cuello, riñones, estómago, espalda, ingles, muslos...). Surgen de una mirada fotográfica (cámara oscura, obturador) que traspasa lo aparente, lo circunstancial y, en busca de la médula, atraviesa el horror, «agua negra / aire envenenado». Edgar es un tránsito, una investigación llena de intensidad, son preguntas que se abren a otras preguntas, y se adentran en un magma peligroso. «Los labios, oscuros, concentrados en lo que aún no ha llegado.» Pero, a pesar de los azares, de las pérdidas, en la aceptación de lo oscuro, hay luz al final del camino. «La vista se abre y florece.» (Luis Marigómez)