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Friedemann Steiger betrachtet und analysiert eine »Confirmationsrede« von 1840, gehalten von einem Pfarrer in jener Gemeinde, in der Steiger selbst viele Jahre als Pfarrer diente. Es ist tröstlich, die Rede zu lesen. Aber über die Arbeit mit diesen Konfirmanden erfahren wir daraus wenig. Wünsche schließen sich an Wünsche, auch Mahnungen. Die jungen Leute gehen ins öffentliche Leben. Sie sollen treu sein bis in den Tod. Evangelischer Christ zu sein, ist ein schöner Beruf. Die böse Lust will ihnen das weiße Ehrenkleid der Unschuld nehmen. Darum sollen sie wacker im Lebenskampf stehen. Ihr seid nicht allein. Gott ist euer Heil. Führt euer Leben mit Gott, durch Gott und für Gott. Lest in der Bibel von der Gnade. Wenn ihr einst sterben werdet, werdet ihr konfirmiert werden zu einem höheren Dasein. Nehmt an den Gottesdiensten teil. Macht euer ganzes Leben zu einem unaufhörlichen Gebet. Die evangelische Kirche ist der Vorhof des ewigen himmlischen Hauses. Eine Ermahnung an die Eltern und Paten folgt. Sie sollen Beispiel sein und Bischöfe für die Jugend.