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Zu ihrer Weltreise brach Ida Pfeiffer im Mai 1846 auf, über Hamburg gelangte sie nach Rio de Janeiro. In Brasilien entkam sie nur knapp einem Mordanschlag. Im Februar 1847 machte sie die gefürchtete Schiffspassage durch die stürmischen Gewässer um Kap Horn nach Valparaíso in Chile. Über Tahiti, wo sie von der Königin empfangen wurde, erreichte sie Macau, danach Hongkong und Kanton. In diesen Orten war das Auftreten einer weißen Frau ein so außerordentliches Ereignis, dass sie immer wieder in Bedrängnis geriet. Über Singapur ging es weiter nach Ceylon, von dort nach längeren Exkursionen Ende Oktober 1847 nach Südindien. Hauptsächliche Stationen ihrer Reise durch den indischen Subkontinent waren Kalkutta, Benares und Bombay. Sie fand Aufnahme in den Häusern reicher und vornehmer Inder, nahm an einer Tigerjagd teil, legte aber auch weite Strecken auf Ochsenkarren zurück. Im April 1848 reiste sie weiter nach Mesopotamien und Persien, sie besuchte Bagdad, begleitete Karawanen durch die Wüste, sah die Ruinen von Babylon und Ninive, wurde von Räubern bedroht. Der britische Konsul in Täbris, ein Landeskenner, war von der Kühnheit ihrer Unternehmungen tief beeindruckt. Über Armenien, Georgien, Odessa, Konstantinopel und Athen ging es nach Hause. Die Aufzeichnungen von dieser Reise erschienen 1850 in drei Bänden. (Quelle: Wikipedia Seite Ida Pfeiffer). Die hier vorgestellte Neuauflage enthält die ursprünglichen drei Bände, wurde in die aktuelle Rechtschreibung konvertiert und ist in moderner Antiqua-Schrift gedruckt.