Au service d'un libertinage solaire, d'un hédonisme amoureux, le verbe prend dans ses nouvelles la saveur des corps qui s'entremêlent. Il sonde dans un style riche et poétique qui ne saurait se comparer qu'à un parfum d'Orient la dialectique du plaisir et de la jouissance. Il est joueur et malicieux, coquin, sensuel, charnel. Il est caresse et fleur de peau. Il est verge et vagin, pénètre et s'offre dans le même temps. Il est chair incarnée.