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Jean Narboni choisit ici une oeuvre qui pourrait être comme le dernier film d'un des derniers très grands cinéastes vivants - un choix loin d'être anodin. Contre le désespoir, tout contre : tel est l'axe de son approche.
Où Bergman, tout en restant le cinéaste de la cruauté nue qu'il a toujours été, convoque mais cependant révoque le pire - sombrer dans la folie ou la mort.
L'auteur accompagne pas à pas le film, ses périodes. Schubert et sa musique (au cour de cette oeuvre) constituent le fil conducteur. Au début du film et de l'essai, apparaît une « diagonale » allant de Schubert et Bergman à Beckett et Monteiro. A la fin du film et de l'essai, Schubert mène à Schopenhauer, Bergman à Kafka.
Tout au long, sans jamais trop appuyer son propos, l'auteur le fait émerger avec un tact léger d'une grande finesse ou subtilité.