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Ce livre est un dossier, celui d’une affaire criminelle plaidée par Jacques Isorni. Pierre Bouchet, 37 ans, est accusé, en novembre 1969, d’avoir assassiné sa maîtresse, Mme Gardil, tenancière d’un bar de La Rochelle. L’homme avoue et, à plusieurs reprises, confirme ses aveux, puis se rétracte aux assises ; ses aveux, dit-il, étaient destinés à protéger une femme qu’il aimait, Françoise Laurent, laquelle aurait pu être soupçonnée du crime. Persuadé de l’innocence de son client, au casier judiciaire chargé, Jacques Isorni obtient de la cour d’assises de Saintes un supplément d’information. Lors du deuxième procès, nouveau supplément d’information. Au troisième procès, on n’a pas trouvé d’autre coupable, bien que la procédure en révèle un possible. L’avocat de Bouchet se heurte, de tous côtés, à une mauvaise volonté évidente, à d’étranges manquements de la justice. Pourquoi ? Et Bouchet devra-t-il, malgré tout, être puni ? En faisant le procès d’un procès, l’auteur ne fait-il pas surtout celui d’une certaine justice ? En tout cas, il apporte beaucoup de passion à montrer l’énorme complexité de l’administration et la quasi-impossibilité, pour un homme, d’échapper à l’engrenage dans lequel il a mis imprudemment et courageusement le doigt. On trouvera aussi, dans ce récit, l’histoire d’un authentique et fol amour. Cet amour explique-t-il le drame ? Le justifie-t-il ? Ou est-ce un tout autre drame, étranger à cet homme et à cet amour ? Les pièces du dossier sont offertes au lecteur. Résoudra-t-il l’énigme de la rue des Chrysanthèmes ?