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Aujourd’hui, Claude Vercey est de ceux qui, dans sa production d’écrivain (théâtre, essais, poésie…) ont su mettre l’accent sur ce qui, depuis Roland Barthes, apparaît comme une évidence — pourtant demeurée tout à fait théorique, quand ce n’est pas terroriste, chez les universitaires — à savoir que le comment du langage implique nécessairement, dans sa fonction « poétique », le pourquoi du monde. Paradoxalement, cela fait du poète un être bien singulier. Vercey revendique cette singularité : elle est consubstantielle à son existence d’homme. Ne nous étonnons donc pas de rencontrer dans ces objets de mots qu’on appelle des poèmes, parfois débordants, parfois concassés, tantôt graves ou douloureux, tantôt ironiques ou tendres, les événements qui balisent quotidiennement la vie de M. Toulmonde : « débonnaires bouchers », « l’encaserné au gros rire », « l’assassin du HLM », « le rire des cuisines qui éclate aux étages », « le corps d’Helma dans l’eau du canal »… Le foisonnement de la banalité (atroce, tragique, ou bien ludique) génère la matérialité (lyrique, écrite) du poème. Encore fallait-il l’écrire. Vercey l’a fait.