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Le 24 novembre 1984 s’ouvrait à Paris le premier congrès international sur le thème « Féminisme et pacifisme », organisé par trois mouvements pacifistes féminins. Cet ouvrage en présente l’intégralité des actes. Pourquoi ce colloque ? Parce que si les féministes ont réclamé et obtenu certains droits : le droit à la maîtrise de leur fécondité, le droit au travail, tout se passe comme si elles avaient oublié ce droit fondamental qu’est le droit à la paix, pour elles et leurs enfants. Cet ouvrage veut montrer les liens entre féminisme et pacifisme : on ne peut pas être féministe sans être pacifiste, car si le féminisme consiste à revendiquer les droits des femmes, le droit à la paix est le premier de tous ces droits ; il conditionne même tous les autres. Inversement, on ne peut pas être pacifiste sans être féministe (qu’on en ait conscience ou non) parce que la lutte pour la paix est une lutte contre une des formes du pouvoir masculin : le pouvoir de la guerre. De plus, si, comme le disait Gaston Bouthoul, « la paix n’est pas aussi naturelle pour l’Homme que pour l’oiseau de voler dans les airs », c’est qu’elle s’apprend. Un long chapitre de cet ouvrage est consacré à l’éducation à la paix qui, comme toute éducation, devrait commencer dans la famille, continuer à l’école et jusqu’à l’Université. Comme le montre cet ouvrage, la guerre étant le « fait masculin » par excellence, les femmes sont notre dernière chance de paix. Celle-ci n’est pas possible dans le système patriarcal qui règne partout, même dans les pays dits « socialistes ». Il faut que les femmes s’engagent dans la politique et qu’elles soient présentes, à égalité avec les hommes, à tous les niveaux où se prennent les décisions, depuis la cité jusqu’au monde entier. Telle est la conclusion de cet ouvrage qui veut inciter les femmes à sortir de leur résignation et de leur silence complice, et à s’engager dans le combat (non-violent) pour la paix.