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Florence, Jacinta, Ignacio et les autres... Un Midnight express à la mexicaine... Ce matin du 9 décembre 2005, le Canal 2 de Televisa, l'une des principales chaînes de télévision mexicaines, ouvre sa matinale en fanfare avec un scoop : une libération d'otages en direct. Le pays tout entier découvre avec stupeur le visage de ceux qui ne sont déjà plus des "présumés coupables", Israel vallarta et Florence Cassez, un concessionnaire mexicain et une Française travaillant dans l'hôtellerie. Deux jeunes gens qu'on décrit déjà comme les nouveaux Bonnie and Clyde... et sur lesquels les autorités comme les médias vont se déchaîner, tenant là une belle occasion de prouver que la police ne reste pas bras croisés face à la multiplication des rapts. Seulement, des failles apparaissent rapidement dans le dossier : les otages ne reconnaissent pas leur ravisseuse, des journalistes prouvent que la soi-disant arrestation en direct n'était qu'un grossier montage destiné à épater la galerie, etc... Le dossier semble des plus fragiles. Pourtant, Florence est condamnée en mars 2009 à 60 ans de prison, et se voit refuser son transfert en France. Au delà de cette affaire édifiante, c'est d'un système profondément corrompu que Florence devient l'otage. Comme, avant elle, Ignacio, Jacinta, et les autres... des cas plus ubuesques les uns que les autres qui illustrent les dérives d'un Etat gangrené.